Devenu détective « sans bureau ni diplôme », un ancien policier porté sur la boisson est chargé de retrouver la trace de Baptiste Maestracci, un vieillard disparu de son village de montagne, en Corse. De découvertes en cadavres oubliés, d’une mystérieuse demeure inhabitée aux plages de la côte sarde en passant par les ruelles de Bastia et le cimetière de
Bologne, le « privé » clandestin va mettre en lumière trente ans de l’histoire secrète de son île, entre négociations de l’ombre, assassinats et compromissions.
Après Malamorte, Antoine Albertini nous propose une nouvelle plongée dans la Corse noire, celle des coulisses, loin des images de carte postale et des clichés : les nationalistes au pouvoir, d’anciens barbouzes prêts à tout pour solder leurs comptes, le passé qui ne passe pas et un héros, toujours en quête de vérité, et de son grand amour perdu.
« La voix de son narrateur est immédiatement attachante, entre ironie et mélancolie »
« Lucide, écorché, mais jamais cynique (...) passionnant et toujours vivement incarné » Le polar sonne toujours deux fois - France Inter
« C’est de fait la marque Albertini : allier pragmatisme et sentimentalisme, action et états d’âme, le dur à cuire et le sensible. » Libération
« Antoine Albertini excelle à tremper sa plume – tantôt grave, tantôt caustique – dans les plaies de la Corse. » l’Express
« Dans ce roman noir âpre et captivant, Albertini a su attraper l'art du suspense de R J Ellory, l'efficacité sanglante de Tim Willocks, l'humour noir de René Belletto. » Le Point
Bologne, le « privé » clandestin va mettre en lumière trente ans de l’histoire secrète de son île, entre négociations de l’ombre, assassinats et compromissions.
Après Malamorte, Antoine Albertini nous propose une nouvelle plongée dans la Corse noire, celle des coulisses, loin des images de carte postale et des clichés : les nationalistes au pouvoir, d’anciens barbouzes prêts à tout pour solder leurs comptes, le passé qui ne passe pas et un héros, toujours en quête de vérité, et de son grand amour perdu.
« La voix de son narrateur est immédiatement attachante, entre ironie et mélancolie »
« Lucide, écorché, mais jamais cynique (...) passionnant et toujours vivement incarné » Le polar sonne toujours deux fois - France Inter
« C’est de fait la marque Albertini : allier pragmatisme et sentimentalisme, action et états d’âme, le dur à cuire et le sensible. » Libération
« Antoine Albertini excelle à tremper sa plume – tantôt grave, tantôt caustique – dans les plaies de la Corse. » l’Express
« Dans ce roman noir âpre et captivant, Albertini a su attraper l'art du suspense de R J Ellory, l'efficacité sanglante de Tim Willocks, l'humour noir de René Belletto. » Le Point