On le disait « ambassadeur des pingouins et des manchots ».
Il fut beaucoup raillé. En réalité, Michel Rocard avait compris les enjeux de la banquise avec une décennie d’avance. Seul son dernier collaborateur et ami, Laurent Mayet, président de l’association le Cercle Polaire, a cru en la ténacité de celui qui sanctuarisa l’Antarctique en 1991.
Michel Rocard et Laurent Mayet ont donc sillonné les confins gelés de la planète. Embarqué sur un cargo de l’ère soviétique, un briseglace canadien ou un remorqueur de la Marine Française, ce duo inattendu n’a pas cessé de militer pour faire valoir les droits des pôles.
Michel Rocard est mort en 2016. Laurent Mayet prend le relais de l’aventure. Il nous offre le récit d’un ultime combat, la partie immergée d’un iceberg diplomatique mondial, d’un patrimoine écologique menacé et surtout, le dernier portrait d’un grand homme politique, qui n’avait pas froid aux yeux.
Il fut beaucoup raillé. En réalité, Michel Rocard avait compris les enjeux de la banquise avec une décennie d’avance. Seul son dernier collaborateur et ami, Laurent Mayet, président de l’association le Cercle Polaire, a cru en la ténacité de celui qui sanctuarisa l’Antarctique en 1991.
Michel Rocard et Laurent Mayet ont donc sillonné les confins gelés de la planète. Embarqué sur un cargo de l’ère soviétique, un briseglace canadien ou un remorqueur de la Marine Française, ce duo inattendu n’a pas cessé de militer pour faire valoir les droits des pôles.
Michel Rocard est mort en 2016. Laurent Mayet prend le relais de l’aventure. Il nous offre le récit d’un ultime combat, la partie immergée d’un iceberg diplomatique mondial, d’un patrimoine écologique menacé et surtout, le dernier portrait d’un grand homme politique, qui n’avait pas froid aux yeux.