Au Japon, une industrie clandestine s'est développée autour du wakaresaseya (littéralement « briseur de couple »), une personne engagée par un époux pour séduire l'autre afin d'obtenir l'avantage dans une procédure de divorce. Lorsque Sato recrute Kaitaro pour entretenir une liaison avec sa femme, Rina, il suppose que ce sera une affaire facile. Mais Rina et Kaitaro tombent désespérément amoureux, ne pouvant prédire la série d'actes violents qui en découlera et bouleversera à jamais la vie de la fille de Rina, Sumiko.
À travers les paysages japonais époustouflants, Stephanie Scott décrit avec délicatesse et nuances la liaison et ses répercussions. Tandis que Sumiko comble les lacunes de l'histoire de sa mère et de sa propre mémoire, l'exploration des fondements psychologiques et moraux de ces actes accomplis par amour pose la question de la frontière entre passion et possession.
Traduit de l'anglais par Denyse Beaulieu
« Un roman d’une grande finesse psychologique qui met en scène pulsions et passions, celles de personnages étranglés par une société japonaise tyrannique. » Biba
« Original et superbement écrit, un roman aussi étonnant que dépaysant. » Le Dauphiné Libéré
« Stephanie Scott nous emporte, sûre de son fait. Une histoire d'amour aussi tordue que pure, aussi transparente qu'obscure. Un premier roman. Une réussite. » Le Journal du Dimanche
À travers les paysages japonais époustouflants, Stephanie Scott décrit avec délicatesse et nuances la liaison et ses répercussions. Tandis que Sumiko comble les lacunes de l'histoire de sa mère et de sa propre mémoire, l'exploration des fondements psychologiques et moraux de ces actes accomplis par amour pose la question de la frontière entre passion et possession.
Traduit de l'anglais par Denyse Beaulieu
« Un roman d’une grande finesse psychologique qui met en scène pulsions et passions, celles de personnages étranglés par une société japonaise tyrannique. » Biba
« Original et superbement écrit, un roman aussi étonnant que dépaysant. » Le Dauphiné Libéré
« Stephanie Scott nous emporte, sûre de son fait. Une histoire d'amour aussi tordue que pure, aussi transparente qu'obscure. Un premier roman. Une réussite. » Le Journal du Dimanche