La cité Gagarine : 13 étages, 5 cages d’escaliers, 350 logements, des centaines de familles, 60 ans d’histoire.
Inaugurée par Youri Gagarine, modèle des banlieues rouges, la cité est devenue au fil des années une zone sinistrée. Elle fait partie de ces lieux qu’on imagine sans les connaître, qu’on voit – muraille de briques rouges aux portes de Paris – sans y pénétrer. Aujourd’hui sa destruction est programmée : elle est grignotée, pour laisser la place à un éco quartier. Les tours vont disparaitre.
Adnane Tragha est réalisateur. Il est né en 1975 à Ivry sur Seine et jusqu’à ses 28 ans il a vécu face à la cité Gagarine. Il donne la parole à ceux qu’on n’entend jamais et qui ont été des figures de la cité : Loïc, rappeur, Samira, chercheuse à Harvard, Franck, employé municipal, Yvette qui a créé une troupe de théâtre, Daniel, le dernier gardien... Leurs souvenirs se mêlent aux siens, à l’Histoire. Personne ne dit mieux la fin des banlieues rouges, la tentation du repli communautaire, les filles invisibles, le sentiment d’exclusion mais aussi l’élan, la solidarité, l’énergie, la belle révolte, la mémoire des murs et des hommes.
« Cet ouvrage, ce sont deux cents pages d’histoire, de récits d’habitants qu’Adnane Tragha voulait sauver des décombres. » Le Parisien
« Tout était rouge à Gagarine et tout n’était pas rose. Adnane Tragha lui redonne toutes ses couleurs et c’est en écrivain qu’il le fait. » Sud Ouest
Inaugurée par Youri Gagarine, modèle des banlieues rouges, la cité est devenue au fil des années une zone sinistrée. Elle fait partie de ces lieux qu’on imagine sans les connaître, qu’on voit – muraille de briques rouges aux portes de Paris – sans y pénétrer. Aujourd’hui sa destruction est programmée : elle est grignotée, pour laisser la place à un éco quartier. Les tours vont disparaitre.
Adnane Tragha est réalisateur. Il est né en 1975 à Ivry sur Seine et jusqu’à ses 28 ans il a vécu face à la cité Gagarine. Il donne la parole à ceux qu’on n’entend jamais et qui ont été des figures de la cité : Loïc, rappeur, Samira, chercheuse à Harvard, Franck, employé municipal, Yvette qui a créé une troupe de théâtre, Daniel, le dernier gardien... Leurs souvenirs se mêlent aux siens, à l’Histoire. Personne ne dit mieux la fin des banlieues rouges, la tentation du repli communautaire, les filles invisibles, le sentiment d’exclusion mais aussi l’élan, la solidarité, l’énergie, la belle révolte, la mémoire des murs et des hommes.
« Cet ouvrage, ce sont deux cents pages d’histoire, de récits d’habitants qu’Adnane Tragha voulait sauver des décombres. » Le Parisien
« Tout était rouge à Gagarine et tout n’était pas rose. Adnane Tragha lui redonne toutes ses couleurs et c’est en écrivain qu’il le fait. » Sud Ouest