Marc Dugain habite dans une maison posée sur une falaise, en Bretagne. Il vit entouré d’animaux : un lapin géant, des poules, un chat, et… deux brebis « Soay », une espèce rare.
Aux habitants qui lui demandent régulièrement d’acheter son terrain, il répond : « Et pourquoi mes moutons ne pourraient pas avoir une vue mer ? »
Il a donc adopté leur regard pour écrire son autoportrait. Ce point de vue ovin l’oblige à ne rien s’épargner, ni la férocité, ni la mise à nu. Avec ce texte inattendu, à la fois exploit littéraire et manifeste pour la nature, c’est le règne animal tout entier qui prend sa revanche sur les hommes.
Marc Dugain raconté par ses moutons : sauvagement audacieux.
« Une pépite d'autodérision » Paris Match
« Autoportrait intime et souvent cruel de l’écrivain, en même temps que passage à tabac d’une société humaine dont l’absurdité est révélée par le regard ovin. » ELLE
Aux habitants qui lui demandent régulièrement d’acheter son terrain, il répond : « Et pourquoi mes moutons ne pourraient pas avoir une vue mer ? »
Il a donc adopté leur regard pour écrire son autoportrait. Ce point de vue ovin l’oblige à ne rien s’épargner, ni la férocité, ni la mise à nu. Avec ce texte inattendu, à la fois exploit littéraire et manifeste pour la nature, c’est le règne animal tout entier qui prend sa revanche sur les hommes.
Marc Dugain raconté par ses moutons : sauvagement audacieux.
« Une pépite d'autodérision » Paris Match
« Autoportrait intime et souvent cruel de l’écrivain, en même temps que passage à tabac d’une société humaine dont l’absurdité est révélée par le regard ovin. » ELLE