Un liquide précieux coule dans nos veines : le plasma. Sans lui, certains médicaments essentiels n’existeraient pas.
Le marché mondial de cet or fluide pèse 31 milliards d’euros.
En France, le don de plasma est encadré, bénévole, et limité à 24 fois par an. Aux États-Unis, ce don est géré par des entreprises privées, rémunéré, permis deux fois par semaine.
Résultat : deux tiers de ces médicaments utilisés en France proviennent du plasma américain. À la faveur d’un système vampiriste, où les plus pauvres ont les bras percés par les seringues. Et au détriment d’une souveraineté pharmaceu-tique européenne, dont la pandémie de Covid a pourtant montré la nécessité.
Clara Robert-Motta a mené l’enquête durant quatre années sur ce plasma autant sauveur de vies qu’instrument de domination. Son investigation inédite enjambe les pays et les siècles pour révéler, enfin, cet impensé de l’histoire scientifique.
Le marché mondial de cet or fluide pèse 31 milliards d’euros.
En France, le don de plasma est encadré, bénévole, et limité à 24 fois par an. Aux États-Unis, ce don est géré par des entreprises privées, rémunéré, permis deux fois par semaine.
Résultat : deux tiers de ces médicaments utilisés en France proviennent du plasma américain. À la faveur d’un système vampiriste, où les plus pauvres ont les bras percés par les seringues. Et au détriment d’une souveraineté pharmaceu-tique européenne, dont la pandémie de Covid a pourtant montré la nécessité.
Clara Robert-Motta a mené l’enquête durant quatre années sur ce plasma autant sauveur de vies qu’instrument de domination. Son investigation inédite enjambe les pays et les siècles pour révéler, enfin, cet impensé de l’histoire scientifique.