Ce soir-là, quand Liam rentre des forêts montagneuses où il est parti chasser, il devine aussitôt qu’il s’est passé quelque chose. Son petit garçon de cinq ans, Aru, ne l’attend pas devant la maison. Dans la cour, il découvre les empreintes d’un ours. À côté, sous le corps inerte de sa femme, il trouve son fils. Vivant. Au milieu de son existence qui s’effondre, Liam a une certitude. Ce monde sauvage n’est pas fait pour un enfant. Décidé à confier son fils à d’autres que lui, il prépare un long voyage au rythme du pas des chevaux. Mais dans ces profondeurs, nul ne sait ce qui peut advenir. Encore moins un homme fou de rage et de douleur accompagné d’un enfant terrifié.
Dans la lignée de Et toujours les Forêts, Sandrine Collette plonge son lecteur au sein d’une nature aussi écrasante qu’indifférente à l’humain. Au fil de ces pages sublimes, elle interroge l’instinct paternel et le prix d’une possible renaissance.
Lauréate des prix :
Lauréate des prix :
- Renaudot des lycéens 2022
- Jean Giono 2022
- LCDL 2022, prix des lecteurs de la Librairie Le Coin des livres (Davézieux)
- Samantha 2022, prix des lectrices et lecteurs de la librairie L’Etagère (Saint-Malo)
Finaliste du Prix des libraires 2023
« Magnifique, de concision, d’émotion brute. Entre western et variation écolo, un livre puissant qui vient questionner l’instinct paternel. » Madame Figaro
« Un roman saisissant qui questionne avec maestria les rapports père/fils. »
Paris Match
« Somptueux. » Version Femina
« Sandrine Collette raconte avec brio la puissance de la nature et la fragilité de l’amour. » Point de vue
« La grande odyssée fauve de la rentrée. Superbe. » Le Point
« Une chevauchée qui prend aux tripes. Magnétique. » L'Obs
« Un western des temps modernes. » Le JDD
« Le talent de Sandrine Collette pour dire l’enfance perdue et la beauté âpre d'une nature où l’homme ne semble pas avoir sa place. » Lire le Magazine Littéraire
« Une merveille. » Femme Actuelle
« Rester humain est un combat de chaque instant. » Le Figaro littéraire
« On reste sidérés par la maîtrise de Sandrine Collette, aussi apte à camper la nature qu'à décrypter la complexité des relations humaines. » L'Express
« Un roman qui se dévore à vif. Magistral » Le Parisien
« De tous les livres de la rentrée c’est celui que j’ai dévoré d’une traite, impossible à lâcher ! Il est exceptionnel » Bernard Lehut, RTL
« Un roman âpre et brutal, mais tellement beau ! » Le Parisien Week-End
« Si On était des loups est un roman audacieux, il est surtout bouleversant ; il vous emmènera ailleurs, dans des contrées inconnues, là où se cache le coeur d’un homme enfin prêt à accueillir sa part d’humanité. » Le Figaro Magazine
« Magnifique, de concision, d’émotion brute. Entre western et variation écolo, un livre puissant qui vient questionner l’instinct paternel. » Madame Figaro
« Un roman saisissant qui questionne avec maestria les rapports père/fils. »
Paris Match
« Somptueux. » Version Femina
« Sandrine Collette raconte avec brio la puissance de la nature et la fragilité de l’amour. » Point de vue
« La grande odyssée fauve de la rentrée. Superbe. » Le Point
« Une chevauchée qui prend aux tripes. Magnétique. » L'Obs
« Un western des temps modernes. » Le JDD
« Le talent de Sandrine Collette pour dire l’enfance perdue et la beauté âpre d'une nature où l’homme ne semble pas avoir sa place. » Lire le Magazine Littéraire
« Une merveille. » Femme Actuelle
« Rester humain est un combat de chaque instant. » Le Figaro littéraire
« On reste sidérés par la maîtrise de Sandrine Collette, aussi apte à camper la nature qu'à décrypter la complexité des relations humaines. » L'Express
« Un roman qui se dévore à vif. Magistral » Le Parisien
« De tous les livres de la rentrée c’est celui que j’ai dévoré d’une traite, impossible à lâcher ! Il est exceptionnel » Bernard Lehut, RTL
« Un roman âpre et brutal, mais tellement beau ! » Le Parisien Week-End
« Si On était des loups est un roman audacieux, il est surtout bouleversant ; il vous emmènera ailleurs, dans des contrées inconnues, là où se cache le coeur d’un homme enfin prêt à accueillir sa part d’humanité. » Le Figaro Magazine