Par une chaude nuit d’août à Cape Cod, Adrienne, quatorze ans, est réveillée par Malabar, sa mère, avec ces cinq mots qui bouleverseront leurs vies pour toujours : « Ben Souther vient de m’embrasser. »
Adrienne devient alors la confidente et complice de sa mère durant toute sa liaison secrète avec le meilleur ami de son mari. Une liaison qui aura des conséquences terribles pour tous ceux qui y seront mêlés. Ce n’est que des années plus tard qu’Adrienne trouvera la force d’affronter Malabar et de commencer à vivre selon ses propres désirs.
Autofiction brillante et intemporelle, Festin sauvage est aussi une formidable histoire de résilience, qui rappelle que l’on peut être des parents différents de ceux qu’on a eus.
Traduit de l'anglais par Laurence Kiefé
« En réalité, ce roman autobiographique […] raconte une durable aliénation. » Libération
« Très sensuellement, Adrienne Brodeur entremêle l’amour et les secrets aux odeurs de la cuisine où règne la magnétique Malabar. Et dit ensuite, sans pitié, la passion et son cruel égoïsme en assaisonnant des carrés de venaison dorés à l’ail écrasé. » Le Monde des Livres
« Une autofiction singulière. » Voici
Adrienne devient alors la confidente et complice de sa mère durant toute sa liaison secrète avec le meilleur ami de son mari. Une liaison qui aura des conséquences terribles pour tous ceux qui y seront mêlés. Ce n’est que des années plus tard qu’Adrienne trouvera la force d’affronter Malabar et de commencer à vivre selon ses propres désirs.
Autofiction brillante et intemporelle, Festin sauvage est aussi une formidable histoire de résilience, qui rappelle que l’on peut être des parents différents de ceux qu’on a eus.
Traduit de l'anglais par Laurence Kiefé
« En réalité, ce roman autobiographique […] raconte une durable aliénation. » Libération
« Très sensuellement, Adrienne Brodeur entremêle l’amour et les secrets aux odeurs de la cuisine où règne la magnétique Malabar. Et dit ensuite, sans pitié, la passion et son cruel égoïsme en assaisonnant des carrés de venaison dorés à l’ail écrasé. » Le Monde des Livres
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