Bath, 1865. Jane, une jeune infirmière renommée pour ses talents extraordinaires, est convaincue qu’un autre destin se révèlera un jour à elle. Pourtant, lorsqu’elle se trouve écartelée entre une liaison sulfureuse avec une femme et la promesse d’un mariage conventionnel avec un médecin respectable, ses désirs l’orientent vers un avenir qu’elle n’avait jamais imaginé.
Au même moment à Bornéo, un excentrique « radjah » britannique, Sir Ralph Sauvage, débordant de philanthropie mais empêtré dans ses passions, voit ses projets compromis par sa propre fragilité, l’avidité innée des hommes et l’irrésistible force de la jungle.
La quête de Jane, en attente d’une vie différente, et les initiatives de Sir Ralph deviennent indissociables à mesure que le récit se déploie sur le globe. D’un salon de thé anglais aux forêts d’une île tropicale en passant par les taudis de Dublin et les magasins de costumiers libertins de Paris, un roman sulfureux, incandescent, inoubliable.
Traduction de l’anglais par Françoise du Sorbier
« Un nouveau grand roman historique de Rose Tremain.» Livres Hebdo
« Havres de grâce se veut à la fois un hommage à l’univers feutré de Jane Austen et à celui plus tempétueux de Joseph Conrad. » Le Figaro littéraire
Au même moment à Bornéo, un excentrique « radjah » britannique, Sir Ralph Sauvage, débordant de philanthropie mais empêtré dans ses passions, voit ses projets compromis par sa propre fragilité, l’avidité innée des hommes et l’irrésistible force de la jungle.
La quête de Jane, en attente d’une vie différente, et les initiatives de Sir Ralph deviennent indissociables à mesure que le récit se déploie sur le globe. D’un salon de thé anglais aux forêts d’une île tropicale en passant par les taudis de Dublin et les magasins de costumiers libertins de Paris, un roman sulfureux, incandescent, inoubliable.
Traduction de l’anglais par Françoise du Sorbier
« Un nouveau grand roman historique de Rose Tremain.» Livres Hebdo
« Havres de grâce se veut à la fois un hommage à l’univers feutré de Jane Austen et à celui plus tempétueux de Joseph Conrad. » Le Figaro littéraire