Tout le monde sait qu’il n’y a rien après les champs de lavande des Holleran, si ce n’est la propriété des Baine. Et tout le monde sait aussi que Juna est à l’origine de la haine entre les deux familles.
Tout a commencé en 1936 dans la petite ville du Kentucky. Avant qu’il ne rencontre Juna, Joseph Carl était le meilleur des frères Baine. Mais cette année-là, elle a posé ses yeux noirs ensorceleurs sur lui. Et le pire est arrivé.
Vingt ans plus tard, Annie Holleran, la jeune nièce de Juna, s’aventure en zone interdite. Lorsque minuit retentit, elle scrute la surface de l’eau du puits sur le domaine des Baine, pensant, selon une vieille légende, pouvoir y lire son avenir. Mais au lieu de son futur amoureux, elle découvre, avec horreur, un cadavre. Et si cette mort annonçait le retour tant redouté de Juna ? Annie craint qu’une menace rôde de nouveau sur leurs familles, inexorablement liées par les secrets sanglants qui hantent leurs terres.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Valérie Bourgeois
« La richesse de la narration et la musique de cette voix sont aussi hypnotiques que le parfum de lavande qui imprègne l’histoire. » The New York Times Book Review
Tout a commencé en 1936 dans la petite ville du Kentucky. Avant qu’il ne rencontre Juna, Joseph Carl était le meilleur des frères Baine. Mais cette année-là, elle a posé ses yeux noirs ensorceleurs sur lui. Et le pire est arrivé.
Vingt ans plus tard, Annie Holleran, la jeune nièce de Juna, s’aventure en zone interdite. Lorsque minuit retentit, elle scrute la surface de l’eau du puits sur le domaine des Baine, pensant, selon une vieille légende, pouvoir y lire son avenir. Mais au lieu de son futur amoureux, elle découvre, avec horreur, un cadavre. Et si cette mort annonçait le retour tant redouté de Juna ? Annie craint qu’une menace rôde de nouveau sur leurs familles, inexorablement liées par les secrets sanglants qui hantent leurs terres.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Valérie Bourgeois
« La richesse de la narration et la musique de cette voix sont aussi hypnotiques que le parfum de lavande qui imprègne l’histoire. » The New York Times Book Review