Pietro et Sara ont deux filles, Amelia et Angela, et un fils.
Une famille normale, en apparence heureuse, même si le petit dernier a toujours été à part — un bébé silencieux, un enfant discret et, à présent, un adolescent aussi souriant qu’étrange et solitaire.
Cette année-là, à l’approche de l’été, la tranquillité de leur petite ville de campagne est perturbée. Quelqu’un s’est introduit dans plusieurs maisons pour y dérober des objets sans valeur : une assiette, une photo, un tournevis. Une rumeur commence à circuler, mais personne n’y croit. Jusqu’à ce que cela se reproduise et que cette fois, une famille soit séquestrée.
Vingt ans après le drame, Juste un garçon nous plonge au cœur d’une famille qui se raconte par l’absence d’un fils. Un roman atmosphérique intense et mystérieux, qui explore le deuil, l’amour et ses limites.
Traduit de l’italien par Marc Lesage
« Des personnages enfermés et consumés par une force qui les dépasse, les pousse, presque comme un destin et en même temps au milieu de cet écrasement le surgissement du désir et d’une sensualité qu’Elena Varvelo raconte magnifiquement, avec tout ce que le désir a de vivant, tout ce qu’il recrée de liberté et redonne d’air, même quand cela semble impossible. C’est très beau. » Sylvain Prudhomme
Une famille normale, en apparence heureuse, même si le petit dernier a toujours été à part — un bébé silencieux, un enfant discret et, à présent, un adolescent aussi souriant qu’étrange et solitaire.
Cette année-là, à l’approche de l’été, la tranquillité de leur petite ville de campagne est perturbée. Quelqu’un s’est introduit dans plusieurs maisons pour y dérober des objets sans valeur : une assiette, une photo, un tournevis. Une rumeur commence à circuler, mais personne n’y croit. Jusqu’à ce que cela se reproduise et que cette fois, une famille soit séquestrée.
Vingt ans après le drame, Juste un garçon nous plonge au cœur d’une famille qui se raconte par l’absence d’un fils. Un roman atmosphérique intense et mystérieux, qui explore le deuil, l’amour et ses limites.
Traduit de l’italien par Marc Lesage
« Des personnages enfermés et consumés par une force qui les dépasse, les pousse, presque comme un destin et en même temps au milieu de cet écrasement le surgissement du désir et d’une sensualité qu’Elena Varvelo raconte magnifiquement, avec tout ce que le désir a de vivant, tout ce qu’il recrée de liberté et redonne d’air, même quand cela semble impossible. C’est très beau. » Sylvain Prudhomme