Lorsque Jérémie Soldatini se fait gifler dans un bar par un inconnu qui prétend s’appeler Nitch, il ne dit rien et tourne les talons. Depuis, cette gifle le hante, et avec elle toutes celles reçues dans sa vie. Pour éclaircir le mystère, son psychanalyste jungien ne lui étant d’aucune aide, Jérémie Soldatini engage un détective privé, et découvre bientôt qu’il n’est pas le seul à avoir été giflé par Nitch. Ils seraient même des dizaines…
Avec ce premier roman virtuose et jubilatoire, Jean-Luc Gaget nous entraîne au cœur d’une intrigue foisonnante à la poésie fantasque et à l’humour délicieusement décalé. La Confrérie des giflés est un bijou d’esprit ainsi qu’une célébration joyeuse des pouvoirs inépuisables de la littérature.
« Avec un goût prononcé pour les mots et un amour indéniable pour la folie de ses personnages, c’est le début d’une enquête psychanalytique, métaphysique et généalogique, décalée, drôle et parfois absurde. » Livres Hebdo
« Ce qui compte ce sont les digressions, les personnages, c’est très très drôle, mais aussi profond, mine de rien, métaphysique et parfois les deux en même temps. Un roman punchy. » Nicolas Carreau, Europe 1
Avec ce premier roman virtuose et jubilatoire, Jean-Luc Gaget nous entraîne au cœur d’une intrigue foisonnante à la poésie fantasque et à l’humour délicieusement décalé. La Confrérie des giflés est un bijou d’esprit ainsi qu’une célébration joyeuse des pouvoirs inépuisables de la littérature.
« Avec un goût prononcé pour les mots et un amour indéniable pour la folie de ses personnages, c’est le début d’une enquête psychanalytique, métaphysique et généalogique, décalée, drôle et parfois absurde. » Livres Hebdo
« Ce qui compte ce sont les digressions, les personnages, c’est très très drôle, mais aussi profond, mine de rien, métaphysique et parfois les deux en même temps. Un roman punchy. » Nicolas Carreau, Europe 1