1547. François Ier, le souverain, l’ami de toujours, est très affaibli et l’on doute qu’il passera l’année. Quentin, père de famille accompli, n’en est pas à son premier cheveu blanc. Mais aurait-il pu imaginer que son fils Pierre lui causerait tant de soucis ? Le jeune homme, au service de l’ambassadeur de France à Constantinople, s’est épris de la fille d’un vizir, au mépris des mœurs à la cour de Soliman le Magnifique.
Retenu prisonnier, son sort dépend désormais des talents culinaires de son père : en effet, Quentin n’a d’autre choix que de venir plaider sa cause en personne, et l’on sait désormais qu’il n’argumente jamais mieux que derrière ses fourneaux. D’autant qu’il dispose d’un mets de choix pour flatter les papilles de Soliman et de son épouse Roxelane : la dinde, nouvellement arrivée des Amériques et inconnue du Grand Turc.
Mais pour sauver Pierre du courroux ottoman, Quentin va devoir affronter un maître-queux irascible et prêt à tout pour voir disparaître ce « rival » venu de France.
Retenu prisonnier, son sort dépend désormais des talents culinaires de son père : en effet, Quentin n’a d’autre choix que de venir plaider sa cause en personne, et l’on sait désormais qu’il n’argumente jamais mieux que derrière ses fourneaux. D’autant qu’il dispose d’un mets de choix pour flatter les papilles de Soliman et de son épouse Roxelane : la dinde, nouvellement arrivée des Amériques et inconnue du Grand Turc.
Mais pour sauver Pierre du courroux ottoman, Quentin va devoir affronter un maître-queux irascible et prêt à tout pour voir disparaître ce « rival » venu de France.