Pour un agent de la CIA envoyé sur le terrain, les frontières n’ont plus d’importance. L’objectif est de s’infiltrer, d’accomplir sa mission et de quitter la zone par tous les moyens.
Mais dans certaines régions hostiles, aux confins du Pakistan, de l’Iran et de l’Afghanistan, la violence est la seule voie pour survivre.
Et lorsque l’exfiltration d’une source cruciale conduit cet agent à croiser la route d’un terroriste qu’on disait mort, c’est la sécurité de tout l’Occident qui est menacée.
Traductrice : Sophie Bastide-Foltz de l’anglais (États-Unis)
« L’auteur reprend les recettes efficaces de « Je suis Pilgrim », mêlant action et réflexion philosophique, affichant une apparente connaissance très détaillée aussi bien du milieu de l’espionnage que des lieux où opère son héros, on s’en doute pas vraiment ouverts aux touristes. » Le Parisien
« Parce qu’on aime se promener au fil des longues digressions de l’auteur. Un personnage se souvient de tel mission au moyen orient, un autre de son aventure au Vietnam. Bref on voyage avec Terry Hayes. » 20 minutes
« Avec L’Année de la sauterelle -ce livre vous rendra dingo-, Terry Hayes réussit l’exploit de nous divertir, de nous passionner, tout en abordant ce qu’il appelle “la technologie d’occultation » Le Vif
« Dix ans de silence et finalement un nouveau coup d’éclat, qui place haut son auteur dans la hiérarchie des maîtres du roman d’espionnage.» Bastille Magazine
« Lecture faite, la voie est libre pour vous parler, en quatre-vingts secondes ce matin, du nouveau roman de Terry Hayes, L’année de la sauterelle, 700 pages d’une intrigue tout aussi serrée, qui met aux prises, une fois encore, un espion de la CIA et un terroriste islamiste qu’on croyait mort mais qui vivait sous les radars. »
« L’année de la sauterelle démarre comme un roman d’espionnage et se transforme, au fil des pages, en roman d’anticipation. Ce n’est pas évident comme zigzag, le choc entre les deux univers peut être déroutant mais l’effet reste intact sur le lecteur : impossible de lâcher ce livre qui imagine des futurs possibles et terrifiants ! » Nicolas Demorand, La Matinale France Inter
Mais dans certaines régions hostiles, aux confins du Pakistan, de l’Iran et de l’Afghanistan, la violence est la seule voie pour survivre.
Et lorsque l’exfiltration d’une source cruciale conduit cet agent à croiser la route d’un terroriste qu’on disait mort, c’est la sécurité de tout l’Occident qui est menacée.
Traductrice : Sophie Bastide-Foltz de l’anglais (États-Unis)
« L’auteur reprend les recettes efficaces de « Je suis Pilgrim », mêlant action et réflexion philosophique, affichant une apparente connaissance très détaillée aussi bien du milieu de l’espionnage que des lieux où opère son héros, on s’en doute pas vraiment ouverts aux touristes. » Le Parisien
« Parce qu’on aime se promener au fil des longues digressions de l’auteur. Un personnage se souvient de tel mission au moyen orient, un autre de son aventure au Vietnam. Bref on voyage avec Terry Hayes. » 20 minutes
« Avec L’Année de la sauterelle -ce livre vous rendra dingo-, Terry Hayes réussit l’exploit de nous divertir, de nous passionner, tout en abordant ce qu’il appelle “la technologie d’occultation » Le Vif
« Dix ans de silence et finalement un nouveau coup d’éclat, qui place haut son auteur dans la hiérarchie des maîtres du roman d’espionnage.» Bastille Magazine
« Lecture faite, la voie est libre pour vous parler, en quatre-vingts secondes ce matin, du nouveau roman de Terry Hayes, L’année de la sauterelle, 700 pages d’une intrigue tout aussi serrée, qui met aux prises, une fois encore, un espion de la CIA et un terroriste islamiste qu’on croyait mort mais qui vivait sous les radars. »
« L’année de la sauterelle démarre comme un roman d’espionnage et se transforme, au fil des pages, en roman d’anticipation. Ce n’est pas évident comme zigzag, le choc entre les deux univers peut être déroutant mais l’effet reste intact sur le lecteur : impossible de lâcher ce livre qui imagine des futurs possibles et terrifiants ! » Nicolas Demorand, La Matinale France Inter
« Hayes a le sens du dialogue, de la narration et de la construction. On pense aux meilleurs John Le Carré. On n’a surtout pas envie d’attendre aussi longtemps pour la suite. » VSD
« Tous les fondamentaux du thriller grand public sont réunis: une écriture riche en testostérone et néanmoins soignée. Mais ces figures imposées coexistent avec des passages bien plus originaux et des étrangetés venues de la science-fiction ou du roman sentimental. Bref, avec ses mélanges surprenants, L'Année de la sauterelle réinvente sans le savoir le roman baroque, à la sauce anglaise. » Lire
« Terry Hayes, outre qu’il maîtrise les techniques de description de grandes scènes spectaculaires dont le budget, à l’écran, dépasserait les prévisions, pratique l’art du hameçonnage avec efficacité. » Le Soir