Parvenus à l’âge de la retraite, Tommy et Tuppence Beresford ont acheté une nouvelle maison où ils espèrent couler des jours heureux. Mme Beresford entreprend de ranger les livres d’enfants laissés dans le grenier depuis plusieurs générations de propriétaires. Très enthousiaste à la découverte de ces trésors littéraires qui ont bercé sa jeunesse, elle tombe sur une édition bien particulière de La Flèche noire de Stevenson. En effet, des lettres du texte ont été entourées pour former une phrase des plus intrigantes: « Mary Jordan n’est pas morte de mort naturelle, c’est l’un de nous qui l’a tuée. » Il n’en faut pas plus pour pousser les Beresford à mener l’enquête !
Traduit de l’anglais par Janine Lévy