« Ma première cigarette avait le parfum des intestins qui se vident et
le goût du rouge à lèvres de ma mère. »
Côte ouest américaine, années 1990.
Cyrus Colfer a quinze ans quand il allume sa première cigarette.
Sa mère, ancienne prostituée devenue proxénète, lui a pourtant toujours formellement interdit de fumer. Un peu de cendre tombe sur le carrelage, il frissonne en imaginant sa réaction quand elle rentrera à la maison.
Mais sa mère est déjà là. Allongée sur le sol, en jupe trop courte, comme d’habitude. Le corps lardé de vingt-huit coups de couteau.
Dix ans plus tard, Cyrus Colfer n’a pas perdu le goût de fumer. Et il est prêt à retrouver l’assassin de sa mère. À un détail près : il est devenu aveugle.
le goût du rouge à lèvres de ma mère. »
Côte ouest américaine, années 1990.
Cyrus Colfer a quinze ans quand il allume sa première cigarette.
Sa mère, ancienne prostituée devenue proxénète, lui a pourtant toujours formellement interdit de fumer. Un peu de cendre tombe sur le carrelage, il frissonne en imaginant sa réaction quand elle rentrera à la maison.
Mais sa mère est déjà là. Allongée sur le sol, en jupe trop courte, comme d’habitude. Le corps lardé de vingt-huit coups de couteau.
Dix ans plus tard, Cyrus Colfer n’a pas perdu le goût de fumer. Et il est prêt à retrouver l’assassin de sa mère. À un détail près : il est devenu aveugle.
Un roman qui nous plonge dans les tribulations d’un antihéros plein de ressources, contrairement aux apparences.
« Gabrielle Massat qui signe un roman référencé, gourmand de sa connaissance du genre, mais qui conduit sans faillir une ligne narrative autant efficace que subtile. Un excellent polar pur et dur, affuté et tranchant, mais qui est aussi le parcours d’un homme face à lui-même, poussé par un destin machiavélique à se redécouvrir et solder les comptes d’une adolescence sacrifiée. Méfiez-vous c’est très addictif. » France Inter
« Un vrai roman noir à l’américaine porté par une belle écriture et un antihéros en quête de réponses et de reconnaissance qui pourrait fort bien finir dans un film de Tarantino. » Libération
« Des scènes et dialogues qui vous décrochent le cœur, de l’humour noir et une quête sans angle ni temps morts. » Magazine Lire