Accablé de chagrin après la mort de son fils, Paul Leibovitz s’est retiré dans la solitude de la petite île de Lamma au large de Hong Kong. Mais depuis qu’il a rencontré Christine Wu, il commence à se dire qu’une nouvelle vie est possible.
Un jour, Christine reçoit une lettre de son frère dont elle n’a plus de nouvelles depuis quarante ans. Paul décide alors de l’accompagner jusqu’au village de son frère, au fin fond de la Chine, où sévit une mystérieuse maladie neurologique.
Retrouvant ses réflexes de journaliste, Paul va chercher à découvrir les causes de ce mal étrange. C’est ainsi qu’il apprend que le lac où les villageois viennent régulièrement pêcher est empoisonné, sans que les autorités ne cherchent à remédier à cette tragique pollution. Pire : elles protègent les malversations de l’usine coupable, en laissant courir des rumeurs à propos d’une malédiction qui pèserait sur le lac et la population qui vit aux abords.
Mêlant l’art du suspense à une profonde humanité, dans ce style qui définit si bien l’œuvre de Sendker, Le Langage de la solitude offre au lecteur un récit passionnant au cœur de cette Chine contemporaine qui commence à s’ouvrir mais dont on ignore encore tant de choses.
Traduit de l’anglais par Laurence Kiefé
Un jour, Christine reçoit une lettre de son frère dont elle n’a plus de nouvelles depuis quarante ans. Paul décide alors de l’accompagner jusqu’au village de son frère, au fin fond de la Chine, où sévit une mystérieuse maladie neurologique.
Retrouvant ses réflexes de journaliste, Paul va chercher à découvrir les causes de ce mal étrange. C’est ainsi qu’il apprend que le lac où les villageois viennent régulièrement pêcher est empoisonné, sans que les autorités ne cherchent à remédier à cette tragique pollution. Pire : elles protègent les malversations de l’usine coupable, en laissant courir des rumeurs à propos d’une malédiction qui pèserait sur le lac et la population qui vit aux abords.
Mêlant l’art du suspense à une profonde humanité, dans ce style qui définit si bien l’œuvre de Sendker, Le Langage de la solitude offre au lecteur un récit passionnant au cœur de cette Chine contemporaine qui commence à s’ouvrir mais dont on ignore encore tant de choses.
Traduit de l’anglais par Laurence Kiefé