Glasgow, de nos jours. Deux jeunes voyous blancs masqués font irruption dans la maison cossue d’une famille pakistanaise de la banlieue résidentielle en réclamant « Bob ». Quelques hurlements plus loin, le pater familias (un commerçant estimé et aisé) est embarqué par les jeunes voyous, ligoté et bâillonné. Arrivée sur les lieux, l’inspectrice Alex Morrow - qui cherche à se faire une place au soleil de la brigade malgré les rebuffades machistes de ses collègues - sent que quelque chose cloche. D’abord, il n’y a pas de Bob en la demeure, et l’on pourrait croire à une erreur si certains regards et certaines attitudes ne l’incitaient à penser que quelqu’un ment ; en tout cas, tout le monde a quelque chose à cacher. Elle la première…
Etude du racisme ordinaire en milieu écossais, Le silence de minuit rejoint la tradition des romans policiers d’action où du nouveau surgit à chaque page, jusqu’au dénouement final, totalement imprévu.
Traduit de l’anglais par Oristelle Bonis
Etude du racisme ordinaire en milieu écossais, Le silence de minuit rejoint la tradition des romans policiers d’action où du nouveau surgit à chaque page, jusqu’au dénouement final, totalement imprévu.
Traduit de l’anglais par Oristelle Bonis