Au nord de l’Écosse, quelques heures avant Noël.
Une voiture roule à tombeau ouvert sur une route déserte des Highlands. Au volant, Scott, héritier et mouton noir d’une grande lignée de la noblesse anglaise, se dirige à contre-cœur vers le manoir familial. Au détour d’un virage, une auto-stoppeuse apparaît, seule dans la nuit. La jeune femme, mystérieuse et mutique, sera sa passagère et la première étrangère à passer les fêtes dans cette famille figée dans ses traditions. Très vite, la présence de cette intruse au sein du clan viendra raviver des blessures, des rancœurs et, comme un grain de sable dans les rouages d’une vieille machine, délivrer le lourd secret retenu entre les murs depuis des décennies.
Un roman atmosphérique tout en tension où les chapitres déferlent comme les vagues d’une tempête, jusqu’à dévoiler la vérité nue, derrière les non-dits.
« Après Les Papillons noirs, Gabriel Katz impressionne a nouveau. La thématique de la femme disparue, déja au cœur de son précédent roman, sert ici un récit (très court) qui dynamite les valeurs bourgeoises à la manière d’un Festen ou d’un Claude Chabrol. On valide de la première a la dernière ligne. » La Marseillaise
« On retrouve dans son deuxième tir ce qu’on a aimé dans le premier. Des personnages à la joie étouffée, le mensonge comme un ballot au fond de la gorge, le cynisme craché au visage. » Le Point
« Après le troublant Les Papillons noirs (adapté en série sur Arte et Netflix), le talentueux auteur signe un thriller coup de poing, diablement efficace, aux airs de Rebecca, de Daphné du Maurier » Télé 7 jours
Une voiture roule à tombeau ouvert sur une route déserte des Highlands. Au volant, Scott, héritier et mouton noir d’une grande lignée de la noblesse anglaise, se dirige à contre-cœur vers le manoir familial. Au détour d’un virage, une auto-stoppeuse apparaît, seule dans la nuit. La jeune femme, mystérieuse et mutique, sera sa passagère et la première étrangère à passer les fêtes dans cette famille figée dans ses traditions. Très vite, la présence de cette intruse au sein du clan viendra raviver des blessures, des rancœurs et, comme un grain de sable dans les rouages d’une vieille machine, délivrer le lourd secret retenu entre les murs depuis des décennies.
Un roman atmosphérique tout en tension où les chapitres déferlent comme les vagues d’une tempête, jusqu’à dévoiler la vérité nue, derrière les non-dits.
« Après Les Papillons noirs, Gabriel Katz impressionne a nouveau. La thématique de la femme disparue, déja au cœur de son précédent roman, sert ici un récit (très court) qui dynamite les valeurs bourgeoises à la manière d’un Festen ou d’un Claude Chabrol. On valide de la première a la dernière ligne. » La Marseillaise
« On retrouve dans son deuxième tir ce qu’on a aimé dans le premier. Des personnages à la joie étouffée, le mensonge comme un ballot au fond de la gorge, le cynisme craché au visage. » Le Point
« Après le troublant Les Papillons noirs (adapté en série sur Arte et Netflix), le talentueux auteur signe un thriller coup de poing, diablement efficace, aux airs de Rebecca, de Daphné du Maurier » Télé 7 jours
« La plume de l’auteur, d’un impitoyable tranchant, guillotine à travers son récit cynique d’un Noël plombé de non-dits, secoué de spasmes névrotiques, une galerie de personnages au mieux pathétiques, au pis cauteleux et lâches. Seule la voix d’outre-tombe de la disparue, la mère piégée par amour dans cette tribu machiste, vient éclairer d’humanité ce tableau d’une caste déliquescente.
Une ténébreuse réussite.» Télérama
« Entre Festen et Downton Abbey, ce polar à l'atmosphère vintage livre un portrait de femme subissant la violence du patriarcat. Féroce. » Madame Figaro
« L’auteur des Papillons noirs signe un thriller haletant, tout en tension. » France Dimanche