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Le syndrome du canal carpien

John Boyne

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Pour tout détruire, un simple tweet suffit. La famille Clerverley va en faire l’expérience douloureuse… mais salvatrice  ?
Quelle invention merveilleuse que le téléphone portable :188 grammes de métal, de verre et de plastique enveloppés dans un écrin brillant aux lignes pures, à la fois porte ouverte sur d’autres mondes et arme perfide entre les mains des imprudents.
Les Cleverley sont britanniques, célèbres et riches. Ils n’ont aucune conscience de la fragilité de leurs privilèges, alors qu’ils ne sont qu’à un tweet du désastre. George, le père, est un animateur de télévision, – un trésor national (selon sa propre expression) –, sa femme Beverley, une romancière reconnue (pas autant qu’elle ne le souhaiterait), et les enfants, Nelson, Elizabeth et Achille, frôlent tous d’inéluctables catastrophes.
Ensemble, ils découvrent les affres de la vie moderne, où les réputations sont détruites en un clin d’œil, et ils apprennent combien le monde se révèle impitoyable lorsque l’on s’écarte du chemin tout tracé.
 
Avec l’humour unique qui le caractérise, John Boyne dresse un portrait irrésistible de notre époque et de ses travers.
 
Traduit de l’anglais (Irlande) par Sophie Aslanides

« La démonstration par la fiction est aussi implacable que désopilante. » Le Soir

« C’est délicieusement drôle, avec toutes les cinq lignes une remarque désopilante. » L’Opinion

« L’auteur du best-seller Le Garçon en pyjama rayé  jongle avec les registres jeunesse et adulte avec une écriture drôle et virevoltante et des personnages très vivants dans le sillage desquels il invite le lecteur à épier comme tapi derrière une vitre. » Sud Ouest

« John Boyne, dont la cruauté drolatique rappelle une Lionel Shriver en moins cynique ou un Bret Easton Ellis en plus cocasse, chronique l’explosion en vol de cette clique d’affreux personnages, pourtant pas si mal intentionnés. » ELLE

« Un portrait de la haute société londonienne. Pour les fidèles de Boyne comme pour les fans de Coe. » Lire Magazine Littéraire
 

Coups de cœur des libraires

« Une famille londonienne dont chaque membre cultive ses névroses et secrets, se retrouve piégée par le wokisme et la bien pensance des réseaux sociaux. Entouré de personnages truculents dont l’impassible tortue Ustym Kamaliuk, chacun ira au bout de son propre enfer, tourmenté par la plume ironique et mordante de l’auteur » Sylvie, Fnac Nice 

« Art consommé du dialogue, humour ravageur, personnages type croqués avec subtilité, portrait acerbe de nos sociétés ultra technologiques, le style Boyne se marie à la perfection à la comédie satirique ! » Sébastien, Librairie Goulard (Aix en Provence) 

« Une formidable satire du monde moderne. Tout y passe : les portables, les réseaux sociaux et tous les révoltés de la vie. Drôlissime. » Rachel, Payot Librairie (Suisse)

« Un régal d’humour anglais, une critique drôle et incisive de notre société en appuyant intelligemment sur notre travers et sur l’omniprésence des réseaux sociaux...Un vaudeville très british et une fine critique d’un monde où tout peut s’effondrer pour un mot de travers ! » Joachim Boitrelle, Librairie La Procure Largeron (Reims) 

« Véritable satire sociale, John Boyne s'en donne à coeur joie dans son nouveau roman hilarant, miroir d'une société au bord de la folie ! » Pauline, La Librairie de Paris (Paris 17e) 

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