À sept ans, Edouard écrit son premier poème. Trois rimes pauvres qui vont le porter aux nues et faire de lui l’écrivain de la famille. Mais à neuf, il découvre le sens de « déchéance ». Les mots ne lui viennent plus.
Les années passent. Il assiste à la lente décomposition de sa famille et court toujours derrière l’amour que son poème, autrefois, suscita. Il écrit, écrit mais le destin que les autres vous choisissent n’est jamais tout à fait le bon. Edouard n’a pas de talent. Sauf dans la publicité où les mots futiles valent de l’or. Pas pour ce grand roman qu’il s’est juré d’écrire.
N’ayant pas su trouver les mots qu’on attendait de lui, Edouard, l’écrivain de la famille, vit dans l’échec et le dégoût de soi. Alors quand la beauté de sa mère se fane, quand son frère-oiseau meurt tragiquement, quand le cœur de sa sœur devient pierre et que son père disparaît dans ses silences, il prend la plume pour écrire l’histoire de ceux qu’il aime.
Mais surtout pour en changer la fin.
Les années passent. Il assiste à la lente décomposition de sa famille et court toujours derrière l’amour que son poème, autrefois, suscita. Il écrit, écrit mais le destin que les autres vous choisissent n’est jamais tout à fait le bon. Edouard n’a pas de talent. Sauf dans la publicité où les mots futiles valent de l’or. Pas pour ce grand roman qu’il s’est juré d’écrire.
N’ayant pas su trouver les mots qu’on attendait de lui, Edouard, l’écrivain de la famille, vit dans l’échec et le dégoût de soi. Alors quand la beauté de sa mère se fane, quand son frère-oiseau meurt tragiquement, quand le cœur de sa sœur devient pierre et que son père disparaît dans ses silences, il prend la plume pour écrire l’histoire de ceux qu’il aime.
Mais surtout pour en changer la fin.