On croit que seuls les élèves ont la boule au ventre lors de la rentrée des classes.
Mais, pendant trois ans, Isabelle Le Foll-Remoué, professeure de philosophie investie, a subi la brutalité d’un système qui obéit aux règles « classiques » du harcèlement. Il suffit d’une personne malveillante, ici le proviseur, pour fabriquer un étau. Bientôt, les parents d’élèves, puis les élèves eux-mêmes, participent au calvaire.
D’une écriture sèche, elle raconte ce harcèlement au sein d’un lycée qui, pourtant, promeut les valeurs républicaines d’égalité et de tolérance. Les alertes lancées, sans retour, auprès des institutions. L’indifférence des collègues. Et la solitude dans laquelle l’Éducation nationale peut laisser parfois ses meilleurs représentants.
Un témoignage choc, pour une éducation qui élève.
Mais, pendant trois ans, Isabelle Le Foll-Remoué, professeure de philosophie investie, a subi la brutalité d’un système qui obéit aux règles « classiques » du harcèlement. Il suffit d’une personne malveillante, ici le proviseur, pour fabriquer un étau. Bientôt, les parents d’élèves, puis les élèves eux-mêmes, participent au calvaire.
D’une écriture sèche, elle raconte ce harcèlement au sein d’un lycée qui, pourtant, promeut les valeurs républicaines d’égalité et de tolérance. Les alertes lancées, sans retour, auprès des institutions. L’indifférence des collègues. Et la solitude dans laquelle l’Éducation nationale peut laisser parfois ses meilleurs représentants.
Un témoignage choc, pour une éducation qui élève.