Au centre, il y a Philippe. Philippe qui vit dans une cité et passe ses journées à traîner, fumer et piquer des bières au centre commercial. Philippe, entouré d'une mère qui le déteste ouvertement, d’un père effacé qui a renoncé depuis longtemps et d’un frère aussi beau que bête.
À côté, il y a Bruno, son pote baroudeur et destroy. Bruno qui raconte qu'il a fait le tour du monde, a connu les plus belles femmes, qu'il n'est là que de passage, avant son prochain voyage.
Autour, il y a Gros Riton, P'tit Louis, Mme Piccini, La Vieille, Flora avec ses seins d'enfant et Anne, la plus moche des moches. Et puis il y a les canards du parc qui s'étouffent avec des bouts de plastique, les grues et les murs qui tiennent avec les dealers, les gamins qui crient trop fort aux pieds des barres d'immeubles.
Les petites violences du quotidien n'atteignent pas Philippe, tant qu'il y a de la bière et les histoires de Bruno pour inventer un autre horizon que celui des tours de béton.
Jusqu'à ce qu'un drame vienne pulvériser son équilibre de papier et déclenche la bombe à retardement...
Avec Les Yeux fumés, Nathalie Sauvagnac donne voix aux oubliés de cette France périphérique et raconte l’errance jusqu’à la perdition, l’impossible passage à l’âge adulte.
Dans la sélection des 10 romans et polars préférés de Télérama en 2019.
« Voilà un bijou de roman noir. Du noir serré, sans esbroufe ni fioritures. Un polar urbain qui distille une tension crescendo, mine de rien, plongeant le lecteur dans une atmosphère singulièrement oppressante. » Delphine Peras, L’Express
« Du noir bien serré, bouleversant d’humanité, qui ne ressemble pas à ce qu’on lit d’habitude. » Christine Ferniot et Michel Abescat, Le Cercle polar, Télérama
« Un beau roman noir. » Claire Devarrieux, Libération
« Il se dégage des Yeux fumés une sorte de poésie noire à la beauté âpre. » Michel Abescat, France Inter
« Un récit poignant sur l’ultra mortelle solitude. » François Lestavel, Paris Match
« Un roman crépusculaire sur les cités de banlieue. » Philippe Blanchet, Rolling Stone
« Nathalie Sauvagnac parvient à nous accrocher tout en nous
révulsant constamment. » Jean-Marie Wynants, Le Soir
« Le regard est à la fois impliqué et drôle, exempt de misérabilisme comme de moquerie. » Hubert Prolongeau, Marianne
« Avec une plume incisive, Nathalie Sauvagnac signe un premier roman puissant sur la désillusion. » Héloïse Goy, Télé 7 jours
« Les Yeux fumés nous saisit grâce à son grand supplément d’âme. » Hubert Artus, LIRE
À côté, il y a Bruno, son pote baroudeur et destroy. Bruno qui raconte qu'il a fait le tour du monde, a connu les plus belles femmes, qu'il n'est là que de passage, avant son prochain voyage.
Autour, il y a Gros Riton, P'tit Louis, Mme Piccini, La Vieille, Flora avec ses seins d'enfant et Anne, la plus moche des moches. Et puis il y a les canards du parc qui s'étouffent avec des bouts de plastique, les grues et les murs qui tiennent avec les dealers, les gamins qui crient trop fort aux pieds des barres d'immeubles.
Les petites violences du quotidien n'atteignent pas Philippe, tant qu'il y a de la bière et les histoires de Bruno pour inventer un autre horizon que celui des tours de béton.
Jusqu'à ce qu'un drame vienne pulvériser son équilibre de papier et déclenche la bombe à retardement...
Avec Les Yeux fumés, Nathalie Sauvagnac donne voix aux oubliés de cette France périphérique et raconte l’errance jusqu’à la perdition, l’impossible passage à l’âge adulte.
Dans la sélection des 10 romans et polars préférés de Télérama en 2019.
« Voilà un bijou de roman noir. Du noir serré, sans esbroufe ni fioritures. Un polar urbain qui distille une tension crescendo, mine de rien, plongeant le lecteur dans une atmosphère singulièrement oppressante. » Delphine Peras, L’Express
« Du noir bien serré, bouleversant d’humanité, qui ne ressemble pas à ce qu’on lit d’habitude. » Christine Ferniot et Michel Abescat, Le Cercle polar, Télérama
« Un beau roman noir. » Claire Devarrieux, Libération
« Il se dégage des Yeux fumés une sorte de poésie noire à la beauté âpre. » Michel Abescat, France Inter
« Un récit poignant sur l’ultra mortelle solitude. » François Lestavel, Paris Match
« Un roman crépusculaire sur les cités de banlieue. » Philippe Blanchet, Rolling Stone
« Nathalie Sauvagnac parvient à nous accrocher tout en nous
révulsant constamment. » Jean-Marie Wynants, Le Soir
« Le regard est à la fois impliqué et drôle, exempt de misérabilisme comme de moquerie. » Hubert Prolongeau, Marianne
« Avec une plume incisive, Nathalie Sauvagnac signe un premier roman puissant sur la désillusion. » Héloïse Goy, Télé 7 jours
« Les Yeux fumés nous saisit grâce à son grand supplément d’âme. » Hubert Artus, LIRE