C’est peut-être à cause de l’époque qu’Aimée ne se sent pas bien dans sa peau ? Ou peut-être qu’elle est différente ? Ou même pire, dérangée ? Elle vit à Londres, c’est sa dernière année d’université, tout devrait filer droit, mais l’avenir, l’obligation de réussir et le simple fait de choisir l’angoissent. Un matin, au réveil, elle décide d’en finir et rédige une liste de tâches à accomplir avant de disparaître proprement et sans regrets : s’acheter une écharpe rouge, coucher avec un Jamie, trouver une corde, des cigarettes, boire beaucoup de thé, tenter d’appeler sa mère et surtout retrouver cette fille, Emmy, qu’elle a rencontrée plus tôt. Tandis que démarre sa longue déambulation dans Londres, Aimée se mêle aux nouvelles cultures et modes, dans un périple qui raconte l’énergie aussi créative que destructrice de la jeunesse.
Y a-t-il un remède à la mélancolie ? Une méthode pour trouver son bonheur ?
À travers les questionnements d’un personnage entre l’adolescence et l’âge adulte, Ornella Pacchioni dresse le portrait drôle et poétique d’une génération et d’une ville mythique, avec un talent littéraire rare pour une jeune auteure.
« Ornella Pacchioni a toujours aimé raconter des histoires. D’abord avec sa caméra de réalisatrice de court-métrages, puis aujourd’hui avec sa plume sensible et affutée pour éclairer notre monde avec un premier roman, Londres a beau être une ville laide. Un voyage au cœur de la nouvelle génération qui s’interroge ! » Paris Match / RFM
« Ornella Pacchioni dresse le portrait attachant d’une jeune femme loufoque, une funny girl que l’on suit dans ses déambulations et réflexions à la fois graves et farfelues. » Paris Match
« Avec Londres a beau être une ville laide, Ornella Pacchioni signe, à 25 ans, son premier roman et dévoile un talent très prometteur. Elle y livre les tourments d’une jeune femme solitaire en proie aux incertitudes de l’époque. » Neon
« Un premier roman à lire, où la plume fougueuse et moderne de la jeune Ornella Pacchioni dresse un portrait original d’une jeunesse en manque de repères. » Femme Actuelle.fr
« Un roman qui parle des doutes et tourments d’une génération, écrit par une jeune auteure qui frappe juste et fort. » Télématin
« Ce premier roman est un uppercut tant il assomme par son rythme haletant et sa plongée dans les tourments d’une génération. » Gala
« Un premier roman délicat qui esquisse le portrait poétique d'une génération. » Les Echos
Y a-t-il un remède à la mélancolie ? Une méthode pour trouver son bonheur ?
À travers les questionnements d’un personnage entre l’adolescence et l’âge adulte, Ornella Pacchioni dresse le portrait drôle et poétique d’une génération et d’une ville mythique, avec un talent littéraire rare pour une jeune auteure.
« Ornella Pacchioni a toujours aimé raconter des histoires. D’abord avec sa caméra de réalisatrice de court-métrages, puis aujourd’hui avec sa plume sensible et affutée pour éclairer notre monde avec un premier roman, Londres a beau être une ville laide. Un voyage au cœur de la nouvelle génération qui s’interroge ! » Paris Match / RFM
« Ornella Pacchioni dresse le portrait attachant d’une jeune femme loufoque, une funny girl que l’on suit dans ses déambulations et réflexions à la fois graves et farfelues. » Paris Match
« Avec Londres a beau être une ville laide, Ornella Pacchioni signe, à 25 ans, son premier roman et dévoile un talent très prometteur. Elle y livre les tourments d’une jeune femme solitaire en proie aux incertitudes de l’époque. » Neon
« Un premier roman à lire, où la plume fougueuse et moderne de la jeune Ornella Pacchioni dresse un portrait original d’une jeunesse en manque de repères. » Femme Actuelle.fr
« Un roman qui parle des doutes et tourments d’une génération, écrit par une jeune auteure qui frappe juste et fort. » Télématin
« Ce premier roman est un uppercut tant il assomme par son rythme haletant et sa plongée dans les tourments d’une génération. » Gala
« Un premier roman délicat qui esquisse le portrait poétique d'une génération. » Les Echos