Si le monde étudiant peut s’avérer sans pitié, Jessie Ryan n’en a jamais souffert : elle est de ceux qui font l’unanimité sans même avoir besoin d’essayer. Lorsqu’on retrouve son corps dans une benne à ordures, quelques jours après sa disparition, il n’y a donc personne à soupçonner. Jessie est une victime de plus à qui on ne rendra pas justice. Mais son grand-père est un ancien haut gradé de la police de l’État, alors celle-ci reforme en urgence une nouvelle équipe, et les médias, attirés par l’odeur du scandale, accourent.
Dépêchée sur cette affaire délicate, l’inspectrice Sarah Pribek voit les interrogatoires se succéder sans résultat. Jusqu’à cet homme, rencontré lors d’un entretien de routine. Cet homme et sa peur viscérale des femmes. Sarah en est sûre : elle tient son meurtrier.
Sauf que les preuves qui s’accumulent contre lui ne sont pas recevables et que, pendant ce temps, une seconde victime est découverte… Pugnace et intuitive, Sarah se lance dans une traque obsessive, résolue à faire cesser ces meurtres.
Jodi Compton, finaliste du Grand Prix des lectrices de ELLE pour son premier roman, La 37e Heure, nous offre ici un thriller psychologique acéré, qui nous plonge dans une Amérique immense et gelée, où disparaître est effroyablement facile.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Valérie Rosier
Dépêchée sur cette affaire délicate, l’inspectrice Sarah Pribek voit les interrogatoires se succéder sans résultat. Jusqu’à cet homme, rencontré lors d’un entretien de routine. Cet homme et sa peur viscérale des femmes. Sarah en est sûre : elle tient son meurtrier.
Sauf que les preuves qui s’accumulent contre lui ne sont pas recevables et que, pendant ce temps, une seconde victime est découverte… Pugnace et intuitive, Sarah se lance dans une traque obsessive, résolue à faire cesser ces meurtres.
Jodi Compton, finaliste du Grand Prix des lectrices de ELLE pour son premier roman, La 37e Heure, nous offre ici un thriller psychologique acéré, qui nous plonge dans une Amérique immense et gelée, où disparaître est effroyablement facile.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Valérie Rosier