Les crises inquiètent, alarment, interfèrent brutalement dans la vie normale. Ce qui est le quotidien, le familier, la sécurité d’un corps qui fonctionne dans le silence des organes est tout à coup bouleversé. La surmonter et la vaincre devient la préoccupation immédiate de l’individu qui souffre. La crise est la meilleure et la pire des choses. C’est la meilleure des choses car elle alerte l’individu. Quelque chose menace le corps, et il faut agir d’urgence, soigner pour éteindre ce voyant rouge qui clignote. De la douleur constrictive de la crise d’angine de poitrine à celle, en coup de poignard, de la perforation d’un ulcère de l’estomac, des symptômes d’une crise de migraine aux manifestations spectaculaires d’une crise d’épilepsie, des crises de nerfs aux crises aiguës de panique ou de douleur morale, l’auteur dédramatise toutes ces situations et vous apprend à les gérer. La crise peut être la pire des choses quand elle annonce le début d’une affection au long cours.
Alors, les symptômes deviennent chroniques; ils deviennent la maladie elle-même. Les exemples sont légion, qu’il s’agisse de la banale crise de migraine qui révélera la maladie migraineuse, de la crise d’anxiété qui annoncera une dépression nerveuse, ou encore d’une crise d’épilepsie qui ne sera que la première manifestation d’une lésion cérébrale.
Pour le Dr Rubinstein, la crise n’est bien souvent qu’un signal d’alarme constituant le prélude à la prise en charge attentive de l’après-crise. Pour les patients, c’est la gestion quotidienne de l’après-crise qui sera primordiale. Là où il nous faudra être vigilant, appliquer des mesures préventives et, surtout, ne pas répéter les erreurs du passé.
Alors, les symptômes deviennent chroniques; ils deviennent la maladie elle-même. Les exemples sont légion, qu’il s’agisse de la banale crise de migraine qui révélera la maladie migraineuse, de la crise d’anxiété qui annoncera une dépression nerveuse, ou encore d’une crise d’épilepsie qui ne sera que la première manifestation d’une lésion cérébrale.
Pour le Dr Rubinstein, la crise n’est bien souvent qu’un signal d’alarme constituant le prélude à la prise en charge attentive de l’après-crise. Pour les patients, c’est la gestion quotidienne de l’après-crise qui sera primordiale. Là où il nous faudra être vigilant, appliquer des mesures préventives et, surtout, ne pas répéter les erreurs du passé.