Octobre 1999. Pendant que l?hiver prend ses quartiers en Suède, le commissaire Erik Winter se trouve sous le soleil d?Espagne, appelé au chevet de son père mourant, qu?il a refusé de voir pendant des années. D?autres chamboulements se profilent : Angela vient d?emménager chez lui, et elle attend leur enfant. Winter va avoir quarante ans. Bientôt orphelin, et père, il ne sera plus le plus jeune commissaire du pays?
Un double meurtre particulièrement atroce l?attend à son retour à Göteborg. A quelques pas de chez lui. Angela est bouleversée par des appels anonymes, qui se multiplient à l?approche du Nouvel an. A mesure que l?image du meurtrier se précise, Winter découvre avec horreur que le chasseur ? lui ? est peut-être la cible d?un autre chasseur, à la détermination sans faille. Un prédateur tout proche, qui ne cesse de lui échapper. Mais auquel lui-même n?échappera pas.
La troisième enquête d?Erik Winter met en scène une société délabrée, où des adolescents malmenés luttent pour survivre face à des adultes eux-mêmes perdus, dont la confusion engendre de redoutables dérapages donnant lieu, parfois, à des jeux diaboliques. Un monde à la fois sauvage et usé, cruel et quotidien, traité à demi-mot, en demi-teinte, avec toute l?ambiguïté corrosive qui est la marque d?Åke Edwardson.
Un double meurtre particulièrement atroce l?attend à son retour à Göteborg. A quelques pas de chez lui. Angela est bouleversée par des appels anonymes, qui se multiplient à l?approche du Nouvel an. A mesure que l?image du meurtrier se précise, Winter découvre avec horreur que le chasseur ? lui ? est peut-être la cible d?un autre chasseur, à la détermination sans faille. Un prédateur tout proche, qui ne cesse de lui échapper. Mais auquel lui-même n?échappera pas.
La troisième enquête d?Erik Winter met en scène une société délabrée, où des adolescents malmenés luttent pour survivre face à des adultes eux-mêmes perdus, dont la confusion engendre de redoutables dérapages donnant lieu, parfois, à des jeux diaboliques. Un monde à la fois sauvage et usé, cruel et quotidien, traité à demi-mot, en demi-teinte, avec toute l?ambiguïté corrosive qui est la marque d?Åke Edwardson.