De la Zambie au Wyoming, de la ferme africaine de ses parents aux paysages de l’Ouest américain, Alexandra Fuller revient sur ses vingt années de mariage, alors qu’elles touchent à leur fin. Elle décrit, avec poésie et humour, son déracinement et sa quête d’identité. Elle médite sur la place de l’écriture, qui lui a permis de tenir au fil des tragédies, et de chasser la solitude. Elle trouve refuge auprès de son père, un homme indépendant et courageux. Vivant sans regrets, il se contente toujours du minimum, même après avoir perdu plus que quiconque. Grâce à ses conseils, qui parsèment le livre, l’auteur trouve la force de se reconstruire et de « partir avant les pluies ».
Traduit de l'anglais par Anne Rabinovitch
« Un grand talent ! » Le Monde