De ses 15 à ses 30 ans, Aline Laurent-Mayard a attendu de tomber amoureuse, mais ce n’est jamais venu. Il lui a fallu du temps pour l’accepter, plus encore pour comprendre qu’elle était heureuse ainsi. Cette prise de conscience l’a amenée à s’interroger : pourquoi cette obsession pour l’amour romantique qui, aussi universel et naturel qu’il nous paraisse, est une invention du XIXe siècle ?
Dans Post-romantique, la journaliste sonde les injonctions à sortir du célibat et notre rapport au couple et à l’amour. Elle y raconte celles et ceux qui ont choisi de vivre autrement, les bonheurs comme les difficultés de ces vies alternatives, appelant à des changements sociétaux pour les accompagner. Au-delà de la question de la contrainte à la romance, ce livre est une invitation joyeuse à réinvestir l’ensemble de nos relations, en particulier nos amitiés, et à imaginer de nouvelles manières de faire famille et société.
« Mais être asexuel ou aromantique ne signifie pas, comme le décrit Aline Laurent-Mayard dans Post Romantique, ne pas avoir d’amour dans sa vie. Les amis, les colocataires, les frères et sœurs, bref la famille « de cœur » décentrée du couple ou du sexe peuvent aussi être des sources d’affection et de tendresse, constituer des soutiens et accompagner le chemin de chacun. N’est-ce pas là l’essentiel ? » Libération
Dans Post-romantique, la journaliste sonde les injonctions à sortir du célibat et notre rapport au couple et à l’amour. Elle y raconte celles et ceux qui ont choisi de vivre autrement, les bonheurs comme les difficultés de ces vies alternatives, appelant à des changements sociétaux pour les accompagner. Au-delà de la question de la contrainte à la romance, ce livre est une invitation joyeuse à réinvestir l’ensemble de nos relations, en particulier nos amitiés, et à imaginer de nouvelles manières de faire famille et société.
« Mais être asexuel ou aromantique ne signifie pas, comme le décrit Aline Laurent-Mayard dans Post Romantique, ne pas avoir d’amour dans sa vie. Les amis, les colocataires, les frères et sœurs, bref la famille « de cœur » décentrée du couple ou du sexe peuvent aussi être des sources d’affection et de tendresse, constituer des soutiens et accompagner le chemin de chacun. N’est-ce pas là l’essentiel ? » Libération