« Mon but est de défendre la liberté de l’esprit. »
La conscience humaine fait partie des derniers mystères non encore résolus. Le Moi n’est-il déterminé que par de la biochimie ? N’est-il que l’interface de notre cerveau, une sorte de scène de théâtre sur laquelle se joue une pièce que nous ne pouvons pas mettre en scène librement ? C’est ce que prétend le neurocentrisme. Cette doctrine issue des sciences de la nature part de l’hypothèse que le Moi est identique au cerveau.
Markus Gabriel émet des doutes légitimes. Contre cette thèse rendant impossible toute connaissance de soi, il défend le libre-arbitre et nous livre une introduction à une réflexion philosophique moderne sur notre conscience.
Avec verve et humour, il s’attaque à l’image scientifique du monde et nous invite à réfléchir à ce que nous sommes - grâce à Kant, Schopenhauer et Nagel, mais aussi en compagnie du Dr. Who, de The Walking Dead et de Fargo.
Traduit de l’allemand par Georges Sturm
La conscience humaine fait partie des derniers mystères non encore résolus. Le Moi n’est-il déterminé que par de la biochimie ? N’est-il que l’interface de notre cerveau, une sorte de scène de théâtre sur laquelle se joue une pièce que nous ne pouvons pas mettre en scène librement ? C’est ce que prétend le neurocentrisme. Cette doctrine issue des sciences de la nature part de l’hypothèse que le Moi est identique au cerveau.
Markus Gabriel émet des doutes légitimes. Contre cette thèse rendant impossible toute connaissance de soi, il défend le libre-arbitre et nous livre une introduction à une réflexion philosophique moderne sur notre conscience.
Avec verve et humour, il s’attaque à l’image scientifique du monde et nous invite à réfléchir à ce que nous sommes - grâce à Kant, Schopenhauer et Nagel, mais aussi en compagnie du Dr. Who, de The Walking Dead et de Fargo.
Traduit de l’allemand par Georges Sturm