Cobra, la vingtaine, a grandi dans le quartier de Strasbourg – Saint-Denis à Paris. Il partage son temps entre l’épicerie de son père, le bar Chez Jeannette, l’écriture de son premier album de rap et l’envie farouche de réussir. Il n’a aucun contact, pas d’argent, juste son enthousiasme, et se donne un an pour percer.
Un jour, il fait la rencontre de Chérif, un ancien producteur de raï en déshérence, qui accepte de mettre à disposition son studio d’enregistrement. Leur amitié va tout bousculer.
Armé d’un style bouillonnant et d’une énergie à 140 pulsations par minute, Quand la ville s’éteint mêle rap, électro et raï pour raconter le destin de Cobra, déchiré entre ses origines populaires et ses rêves de gloire. C’est aussi le portrait d’un quartier en proie à une gentrification sauvage, devenu fief de la production artistique, et celui d’une génération qui cherche sa place sur une scène musicale où l’on passe de l’ombre à la lumière en un rien de temps. Et inversement.
« Porté par une écriture fiévreuse, Quand la ville s’éteint mêle l’histoire de la musique populaire des trente dernières années et une observation fine des mutations sociologiques de Paris. Une belle découverte. » L'Humanité
« Ce livre a été lu avec le sentiment que Julia Pialat prend la relève de Virginie Despentes en fédérant sa génération autour d’une bande de musiciens dans un quartier parisien en mutation, un peu à la façon de Vernon Subutex. » 20 Minutes
« Un roman plein d’amour et de musique. » France Inter
« Ultra rythmé, nimbé de rap, de raï et d’électro, alternant gouaille branchée et langage classieux : un roman percutant. » Causette
« Bingo ! Epatante radiographie socioculturelle d’une génération, et de ce Paris en proie à une « spéculation crépusculaire », Quand la ville s’éteint annonce un talent vigoureux. Prometteur, assurément. » L'Express
« Sous la plume d’une autrice née en 1993, le quartier, en pleine gentrification, devient un personnage à lui seul, voyant les destins se croiser, avec, en fil rouge, l'amour de la musique. Une plongée dans le monde de la nuit et des petits matins porteurs d’espoir. » Télérama Sortir
Un jour, il fait la rencontre de Chérif, un ancien producteur de raï en déshérence, qui accepte de mettre à disposition son studio d’enregistrement. Leur amitié va tout bousculer.
Armé d’un style bouillonnant et d’une énergie à 140 pulsations par minute, Quand la ville s’éteint mêle rap, électro et raï pour raconter le destin de Cobra, déchiré entre ses origines populaires et ses rêves de gloire. C’est aussi le portrait d’un quartier en proie à une gentrification sauvage, devenu fief de la production artistique, et celui d’une génération qui cherche sa place sur une scène musicale où l’on passe de l’ombre à la lumière en un rien de temps. Et inversement.
« Porté par une écriture fiévreuse, Quand la ville s’éteint mêle l’histoire de la musique populaire des trente dernières années et une observation fine des mutations sociologiques de Paris. Une belle découverte. » L'Humanité
« Ce livre a été lu avec le sentiment que Julia Pialat prend la relève de Virginie Despentes en fédérant sa génération autour d’une bande de musiciens dans un quartier parisien en mutation, un peu à la façon de Vernon Subutex. » 20 Minutes
« Un roman plein d’amour et de musique. » France Inter
« Ultra rythmé, nimbé de rap, de raï et d’électro, alternant gouaille branchée et langage classieux : un roman percutant. » Causette
« Bingo ! Epatante radiographie socioculturelle d’une génération, et de ce Paris en proie à une « spéculation crépusculaire », Quand la ville s’éteint annonce un talent vigoureux. Prometteur, assurément. » L'Express
« Sous la plume d’une autrice née en 1993, le quartier, en pleine gentrification, devient un personnage à lui seul, voyant les destins se croiser, avec, en fil rouge, l'amour de la musique. Une plongée dans le monde de la nuit et des petits matins porteurs d’espoir. » Télérama Sortir