« J’ai dirigé la campagne d’Alain Juppé pour la primaire de novembre 2016, aboutissement de 15 années d’engagement auprès d’un homme, et de 20 années dédiées à la politique, ce monde passionnant où tout est puissant, extrême, inattendu, irrationnel.
Pendant ces 800 jours de campagne, je me suis posé deux questions essentielles : à quoi pense l’électeur au moment de faire son choix et qu’est-ce qui peut le faire changer d’avis ? Je n’avais pas toutes les réponses.
Pendant ces 800 jours de campagne, on m’a sans cesse rappelé la malédiction du favori. Et durant 780 jours, je pensais qu’“on” se trompait. »
Le récit d’une campagne où rien ne s’est passé comme prévu.
Pendant ces 800 jours de campagne, je me suis posé deux questions essentielles : à quoi pense l’électeur au moment de faire son choix et qu’est-ce qui peut le faire changer d’avis ? Je n’avais pas toutes les réponses.
Pendant ces 800 jours de campagne, on m’a sans cesse rappelé la malédiction du favori. Et durant 780 jours, je pensais qu’“on” se trompait. »
Le récit d’une campagne où rien ne s’est passé comme prévu.