« Les récits de Fatima Ouassak dans “Rue du passage” réenchantent le monde. Ils tissent la mémoire des parcours et solidarités qui se créent chez les ouvriers immigrés dans les années 80. A hauteur d’enfant, le lecteur découvre et interroge l’absurdité du monde et de ses frontières qui séparent les familles,. On s’émerveille des anges gardiens aux pouvoirs extraordinaires qui peuplent le quartier. Emouvant, lumineux. » Manon, librairie Lilosimages (Angoulême)
« À travers le regard d'une petite fille, c'est tout un monde qui nous est conté : celui d'une classe ouvrière immigrée de l'autre rive de la Méditerranée, vivant en communauté avec ses espoirs, ses peines, ses sociabilités et ses solidarités. C'est touchant et juste. » Librairie de Paris (Paris 17e)
« À travers le regard d'une petite fille, Fatima Ouassak, un peu à la manière d'un conte, met en lumière la solidarité d'une communauté qui s'organise autour de métiers et de figures qui aujourd'hui disparaissent de la mémoire collective. C'est passionnant ! » Librairie Le Divan (Paris 15e)
« S’écartant un instant du manifeste politique, Fatima Ouassak livre ici un récit littéraire à hauteur d’enfant d’une extrême sensibilité qui à travers les portraits de travailleurs immigrés des années 1980, nous montre et nous enseigne le pouvoir émancipateur d’une communauté qui se reconnaît et se soutient. Une lecture pleine de plaisirs et d’émotions qui prolonge et étaye superbement l’œuvre théorique qu’on lui connaissait. » Librairie Les Nouveautés (Paris 10e)
« Connue pour ses essais La puissance des mères et Pour une écologie pirate, Fatima Ouassak est une conteuse hors-pair. Roman initiatique empreint de douceur et d’humour, conte poétique et décolonial, Rue du Passage dit tout de l’amour et de l’engagement de Fatima Ouassak envers la jeunesse. En braquant la lumière sur la classe ouvrière immigrée des années 1980, elle célèbre les métiers disparus, la transmission par le travail et la force de la communauté. Une surprise réjouissante, pleine de joie et de beauté. » Librairie Majo (Paris 5e)
« Après La Puissance des mères et Pour une écologie pirate, la politologue et essayiste Fatima Ouassak fait une pause dans son triptyque politique pour nous livrer un récit habité sur la classe ouvrière immigrée. Presque sous la forme d’un conte, elle nous invite, le temps d’un livre, à découvrir la communauté d’habitants de la rue du Passage et à changer de regard sur toute une génération de travailleurs. Le voyage se fait à travers les yeux de Salima, petite fille de 6 ans au début des années 1980, qui nous fera successivement rencontrer le passeur de cassettes, la doseuse d’épices ou encore le Père Noël à la chaîne. Autant de personnages piliers de la communauté, par qui les savoirs se transmettent, la solidarité s’organise et le lien entre ici et là-bas perdure. On retient de ces portraits la joie, l’amour, la célébration des gestes et la place unique et inaliénable de chacun et chacune pour l’équilibre du collectif. Un texte comme aucun autre, qui porte un regard ré-enchanteur, presque magique, sur toute une population issue de l’immigration, émancipée et fière, que l’obscurantisme politique ne cesse de vouloir diaboliser. » Clara, Librairie du Channel (Calais)
« Dans les années 80, Salima jeune enfant vive et malicieuse s'est mise en tête de trouver qui était son ange gardien. A travers ses yeux, Fatima Ouassak nous livre un panorama de la rue du Passage, miroir d'une communauté ouvrière immigrée marocaine d'une banlieue française. Un récit touchant de simplicité qui offre à voir le quotidien de ces habitants des quartiers populaires, que la France relègue aux marges. » Sandra, librairie Le Bateau livre (Lille)
« "Rue du passage", c'est là où vit Salima, une petite fille heureuse et espiègle qui trouve l'inspiration et construit son identité auprès de sa famille et des artisans/artistes de sa communauté. Fatima Ouassak marque ici un pas de côté avec son œuvre d'essayiste militante - sans entrer en rupture avec cette dernière - et laisse exprimer son incroyable talent de conteuse qui sourdait déjà dans La puissance des mères ou Pour une écologie pirate. À travers le regard de Salima, elle offre un récit riche sur ces vies et dons oubliées tout en soulignant l'importance du lien et de la transmission, et extrait ainsi la communauté immigrée et ouvrière du roman national. » Lucas, librairie ICI (Paris 2e)