En 1938, Manod a dix-huit ans, elle vit sur une petite île battue par les tempêtes au large du pays de Galles avec sa soeur cadette et son père pêcheur de homards. Elle aimerait partir sur le continent et devenir professeure. Un jour, une baleine s’échoue sur la plage. Peu après, deux ethnologues débarquent d’Angleterre pour étudier le mode de vie et le folklore des habitants. À leur contact, un monde nouveau s’ouvre devant elle, ses rêves paraissent soudain possibles. Dans un style épuré extrêmement évocateur, Elizabeth O’Connor traduit les espoirs, les doutes, le coeur battant d’une jeune fille qui aspire à une autre vie.
Traduction de l’anglais (UK) par Claire Desserey
« L’écriture de ce premier roman est très ciselée, aucun mot n’est en trop. On plonge dans cet univers comme si on sentait nous aussi nos vêtements trempés par la pluie. » « Un personnage féminin très fort, tiraillé entre ses origines et ses envies d’ailleurs. On est happé et touché par ce récit. » Culturebox, France 4
« La perte, l'isolement, le folklore d'une vie bercée par les caprices de la nature... Elizabeth O'Connor aborde avec justesse la vie de cette communauté, et livre un premier roman poétique d'une délicatesse extraordinaire ! » Do it in Paris
« Cela faisait longtemps qu’on n’avait pas lu un roman aussi sensible et néanmoins dépourvu de fioritures, riche de plusieurs textures. […] Un premier roman très réussi, qui ravive le format du récit d’apprentissage. » Vogue
« II s’agit d’un destin ancien dans un roman moderne : rien n’est joué d’avance » Libération
« Brillant […] Un jaillissement de trouvailles linguistiques et narratives. »
« Un duo d’héroïnes inoubliables. »
« Jamais manichéenne, au plus près des sensations physiques, au fil de chapitres courts qui déferlent comme des vagues et charrient l’inattendu, l’autrice rivalise de subtilité pour dire la difficulté de saisir la vérité des êtres et la brutalité aléatoire des destins. » Télérama
« Au diapason des confins apparemment désolés qui constituent le décor de Sur l’île, son premier roman, l’écriture d’Elizabeth O’Connor frappe d’emblée par son étonnante sobriété, son rythme lent fait de phrases courtes et de chapitres parcimonieux. » Le Monde
Traduction de l’anglais (UK) par Claire Desserey
« L’écriture de ce premier roman est très ciselée, aucun mot n’est en trop. On plonge dans cet univers comme si on sentait nous aussi nos vêtements trempés par la pluie. » « Un personnage féminin très fort, tiraillé entre ses origines et ses envies d’ailleurs. On est happé et touché par ce récit. » Culturebox, France 4
« La perte, l'isolement, le folklore d'une vie bercée par les caprices de la nature... Elizabeth O'Connor aborde avec justesse la vie de cette communauté, et livre un premier roman poétique d'une délicatesse extraordinaire ! » Do it in Paris
« Cela faisait longtemps qu’on n’avait pas lu un roman aussi sensible et néanmoins dépourvu de fioritures, riche de plusieurs textures. […] Un premier roman très réussi, qui ravive le format du récit d’apprentissage. » Vogue
« II s’agit d’un destin ancien dans un roman moderne : rien n’est joué d’avance » Libération
« Brillant […] Un jaillissement de trouvailles linguistiques et narratives. »
« Un duo d’héroïnes inoubliables. »
« Jamais manichéenne, au plus près des sensations physiques, au fil de chapitres courts qui déferlent comme des vagues et charrient l’inattendu, l’autrice rivalise de subtilité pour dire la difficulté de saisir la vérité des êtres et la brutalité aléatoire des destins. » Télérama
« Au diapason des confins apparemment désolés qui constituent le décor de Sur l’île, son premier roman, l’écriture d’Elizabeth O’Connor frappe d’emblée par son étonnante sobriété, son rythme lent fait de phrases courtes et de chapitres parcimonieux. » Le Monde