Trop souvent divorcé, mécontent des compromis de la vie et habitant une maison qu’il exècre, Charlie Barnes doit bien l’admettre, depuis quelque temps, tout part à vau-l’eau.
Et lorsque la Grande Récession et un cancer pointent conjointement leur nez, son rêve américain s’amenuise plus encore, et se réduit rapidement comme peau de chagrin.
Puis, pour une fois, et contre toute attente, quelque chose se déroule comme prévu. Avec l’aide de son fils, Charlie passe en revue son existence et trouve sa véritable vocation là où il s’y attend le moins – dans le sacrifice, preuve d’altruisme et d’amour –, devenant enfin l’homme que ses enfants ont toujours su qu’il pouvait être.
Traduit de l'anglais (américain) par Jean Esch
« Ambitieux et totalement irrésistible. » The Sunday Times
« Ferris prouve s’il en était besoin qu’il n’est de bon moraliste qui ne soit d’abord un satiriste accompli, et l’on s’amuse autant que l’on s’émeut des tours et détours de ce pauvre Charlie Barnes, fils d’une Amérique qui a beaucoup promis et peu tenu. » Livres hebdo
Et lorsque la Grande Récession et un cancer pointent conjointement leur nez, son rêve américain s’amenuise plus encore, et se réduit rapidement comme peau de chagrin.
Puis, pour une fois, et contre toute attente, quelque chose se déroule comme prévu. Avec l’aide de son fils, Charlie passe en revue son existence et trouve sa véritable vocation là où il s’y attend le moins – dans le sacrifice, preuve d’altruisme et d’amour –, devenant enfin l’homme que ses enfants ont toujours su qu’il pouvait être.
Traduit de l'anglais (américain) par Jean Esch
« Ambitieux et totalement irrésistible. » The Sunday Times
« Ferris prouve s’il en était besoin qu’il n’est de bon moraliste qui ne soit d’abord un satiriste accompli, et l’on s’amuse autant que l’on s’émeut des tours et détours de ce pauvre Charlie Barnes, fils d’une Amérique qui a beaucoup promis et peu tenu. » Livres hebdo