Le 24 janvier 2013, en pleine nuit, au large des côtes de Long Island, John Aldridge tombe à l’eau pendant que son associé, Anthony Sosinski, dort dans la cabine de leur bateau, l’Anna Mary. Lorsqu’il sent l’eau glacée qui l’enserre, il comprend qu’il va mourir ici.
« Je commence à me rendre compte qu’il serait facile de me laisser à aller, de me laisser couler. L’idée est presque séduisante. Et puis je songe : Trop de gens m’aiment, hors de question que je meure comme ça. »
Sosinski est un homme fort qui connaît ses limites : il sait combien de temps il peut travailler sans dormir, combien de pièges à Homard il peut porter, à quelle vitesse il peut les déployer. C’est un homme qui sait ce que son corps vaut. Désormais, seul dans l’océan, il tente d’utiliser cela pour combattre la peur qui le noie.
Le témoignage haletant à la première personne d’Aldridge s’entrecroise avec le récit heure par heure de l’opération de sauvetage de grande envergure mise en place pour le sauver. Un homme à la mer retrace la lutte d’un homme qui tente de survivre tandis que ceux qui l’aiment s’évertuent à le ramener sain et sauf.
Traduit de l’anglais par Thierry Pielat
« Je commence à me rendre compte qu’il serait facile de me laisser à aller, de me laisser couler. L’idée est presque séduisante. Et puis je songe : Trop de gens m’aiment, hors de question que je meure comme ça. »
Sosinski est un homme fort qui connaît ses limites : il sait combien de temps il peut travailler sans dormir, combien de pièges à Homard il peut porter, à quelle vitesse il peut les déployer. C’est un homme qui sait ce que son corps vaut. Désormais, seul dans l’océan, il tente d’utiliser cela pour combattre la peur qui le noie.
Le témoignage haletant à la première personne d’Aldridge s’entrecroise avec le récit heure par heure de l’opération de sauvetage de grande envergure mise en place pour le sauver. Un homme à la mer retrace la lutte d’un homme qui tente de survivre tandis que ceux qui l’aiment s’évertuent à le ramener sain et sauf.
Traduit de l’anglais par Thierry Pielat